Grève à l’hôpital du Mans : « Macron, ça rime avec destruction »

Les hospitaliers demandent que cesse une situation et des conditions de travail insupportables. Des soignants font état d’un patient resté 11 jours attaché sur un lit ; d’un patient de 72 ans resté 17 jours sur un brancard. Du personnel et des lits maintenant !

Rassemblement devant l’hôpital du Mans, le 29 février (Photo correspondant).
Par correspondant
Publié le 7 mars 2024
Temps de lecture : 2 minutes

Le 28 février la presse locale annonce : « C’est historique : le chef des urgences de l’hôpital alerte sur la situation terrible que vivent les patients de son service, faute de place en psychiatrie. Tout le personnel du service va faire grève. »

Effectivement, le lendemain, jeudi 29 février, les hospitaliers et les médecins des urgences sont en grève, avec les syndicats CGT, FO et CFDT, et se rassemblent devant l’entrée de l’hôpital. Il y a aussi des syndicalistes, des hospitaliers venus de l’hôpital psychiatrique d’Allones, des représentants de LFI et du PCF. En tout, 200 personnes.

Les hospitaliers demandent que cesse une situation et des conditions de travail (…)


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