Le POI organise, dimanche 5 mai à Paris, une assemblée de militants à l’échelle nationale, contre la guerre, contre la marche à la guerre, contre l’exploitation, contre les gouvernements qui l’organisent ou qui laissent faire, pour le cessez-le-feu immédiat.
Le POI organise, dimanche 5 mai à Paris, une assemblée de militants à l’échelle nationale, contre la guerre, contre la marche à la guerre, contre l’exploitation, contre les gouvernements qui l’organisent ou qui laissent faire, pour le cessez-le-feu immédiat.
Le journal Watan (« Combat »), publié à Ramallah, a rendu compte de la réunion de la coordination de la Campagne pour un seul Etat démocratique (ODSC) qui s’est tenue à Haïfa le 17 février 2024.
Samedi 3 mars à Pantin (Seine-Saint-Denis), des centaines de personnes étaient réunies « contre l'antisémitisme et son instrumentalisation, pour la paix révolutionnaire en Palestine ».
Après la manifestation, une assemblée générale surchauffée à la bourse du travail de Paris, comprenant de nombreux délégués d'AG d'établissement, a reconduit la grève en cherchant les moyens d'élargir la mobilisation.
Le candidat George Galloway, qui a fait campagne contre le génocide à Gaza, en dénonçant la complicité de l’impérialisme britannique et de la direction des partis travailliste et conservateur, a été élu lors d'une élection législative partielle à Rochdale.
Les hospitaliers demandent que cesse une situation et des conditions de travail insupportables. Des soignants font état d’un patient resté 11 jours attaché sur un lit ; d’un patient de 72 ans resté 17 jours sur un brancard. Du personnel et des lits maintenant !
En quinze ans, 130 centres d’IVG ont été fermés. Est-ce à cela que pensait le ministre de la Justice de Macron quand il a dit, pour calmer les adversaires de l’IVG : « Le gouvernement n’entend pas créer un droit, absolu, sans limites, opposable. »
Depuis l’allocution de Macron en janvier définissant les JO comme l’horizon d’unité nationale de cette année, les inquiétudes, doutes et revendications se font jour chez les travailleurs d’Île-de-France.
Le vendredi 1er mars, le patronat devait faire connaître aux confédérations son projet de texte. Le gouvernement en attend des mesures pour « favoriser l’emploi des séniors », après avoir imposé à tous les salariés deux ans de travail supplémentaires avec la retraite à 64 ans.