Le « cheminots bashing » bat son plein

Du gouvernement à la direction de la SNCF en passant par les divers médias, les mots ne sont pas assez forts : « preneurs d’otages », « nantis de grévistes », « égoïstes, privilégiés ». Mais le pire serait que les contrôleurs ont eu l’outrecuidance de s’organiser en dehors des structures habituelles.