« Objectif de cette circulaire : s’assurer que cette absence d’énergie électrique ne vire pas au cauchemar pour les Français ». Le cauchemar évoqué par Le Parisien correspond au risque de « black-out » ou de panne géante qui pourrait intervenir si l’équilibre du réseau électrique n’est pas assuré, car à chaque instant la consommation d’électricité doit être égale à la production.Bien entendu, un black-out serait une catastrophe, et cela ne s’est produit en France qu’en 1978, à la suite d’un incident sur une ligne haute tension, mais le plan que nous préparent Borne et Macron pour l’éviter ne va pas nous épargner. Ces coupures pourraient toucher 60 % de la population, deux heures par jour lors des pics de consommation, soit entre 8 heures et 13 heures et 18 heures et 20 heures.
Plus de réseau téléphonique dans les zones « délestées », des malades sous respirateur privés d’électricité… Ce sont quelques-unes des conséquences auxquelles la population serait confrontée. Alors « pas de panique », vraiment ?
Macron sort de ses gonds
La polémique a enflé, mardi 5 décembre, après les propos du porte-parole d’Enedis sur BFMTV. Franceinfo rapporte : « Le représentant du distributeur d’électricité déclare : “Les personnes qui sont à haut risque vital ne font pas partie des clients prioritaires définis par les préfectures .” Laurent Méric explique que le courant pourrait être coupé chez ces particuliers ».
Cette déclaration a fait sortir Macron de ses (…)
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