Haro sur le droit de grève et la grève des cheminots
L’approche de la grève reconductible lancée par les cheminots à partir du 11 décembre contre la privatisation du fret est en train de hérisser les poils d’un certain nombre de responsables politiques, de la macronie au RN en passant par LR.
- Actualité politique et sociale, Droit de grève

Par Rosalie Albani
Publié le 20 novembre 2024
Temps de lecture : 2 minutes
Les syndicats de cheminots appellent à une grève ultimatum jeudi 21 novembre et ont déjà planté dans le décor, en cas de non-réponse à leurs revendications, une grève reconductible à compter du 11 décembre.
Depuis cette annonce, éditorialistes et politiques se succèdent sur les plateaux télés et radios pour déverser leur haine contre le droit de grève reprenant l’adage « le droit de grève est constitutionnel, mais… ».
Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-M6, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a dégainé : « Les cheminots, c’est habituel, routinier, c’est ce que j’appelle la gréviculture. (…)
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